Le tracé

Le Coissou

Au départ de Jonzieux, village de tradition passementière, ce circuit, qui serpente entre Loire et Haute-Loire, remonte ensuite sur le charmant village de Marlhes orné de sa basilique des Hauts-Plateaux et son château de la Sapée. Vous passerez ensuite par le hameau du Rosey où se trouve la chapelle dédiée à Saint Marcellin Champagnat et arrivé ensuite au point le plus haut du circuit, admirez au lointain les volcans endormis de Haute-Loire et d’Ardèche, notamment le Mont Mézenc et plus loin le Mont Gerbier des Joncs (au pied duquel se trouvent les sources de la Loire). Globalement, vous suivrez un parcours variant petite route, piste forestière traversant de belles forêts de sapin, sentes, courts passages techniques. En passant à proximité du village de Saint Romain Lachalm vous pourrez admirer son château du XVème siècle, classé aux monuments historiques. De retour vers Marlhes, vous traverserez le hameau du temple, encore imprégné du mystère des Templiers qui y possédaient une commanderie. La descente qui suit est facile et vous longerez la rivière Semène jusqu’au pont de Malzaure, d’où un dernier effort pour remonter vous ramènera au cœur du village de Jonzieux.

Et là mon belet, pas de babaud, tu pourras faire bien d’abonde !

Le tracé

Le Matru

Au départ de Jonzieux, village de tradition passementière, ce circuit remonte ensuite sur le charmant village de Marlhes orné de sa basilique des Hauts-Plateaux et son château de la Sapée. Vous passerez ensuite par le hameau du Rosey où se trouve la chapelle dédiée à Saint Marcellin Champagnat, puis en longeant le Crêt de Chaussitre, vous gagnerez le village de Saint Régis du Coin, labellisé sport nature. Vous poursuivrez votre progression vers Gimel, avec sa fameuse tourbière et sa pierre des trois évêques, d’où vous dominerez la vallée du Rhône tout en bénéficiant d’un panorama unique sur les Alpes et le Mont-Blanc se détachant au lointain.

Plus loin, vous traverserez la D1082 au niveau des trois croix et du col de la république, pour vous engager sur les pistes forestières des Grands Bois, transformées en pistes de ski de fond l’hiver.

Evoluant en sous-bois, vous y ferez le plein d’odeurs de conifères jusqu’au village du Bessat, le plus haut de la Loire et capitale de l’espace nordique des monts du Pilat. De là, vous redescendrez progressivement vers Jonzieux, par une alternance de petites routes secondaires et de pistes. En passant au niveau du charmant village de Saint Genest Malifaux vous pourrez peut-être apercevoir le château du bois, où séjourna Mandrin avec ses compères.

Et là, bichette, tu seras peut-être un peu mâchuré, franc cafi d’avoir traversé une gouilla, mais t’auras pas le macle après avoir bu un p’tit gorgeon qui t’empêchera de pétafiner.

Et là mon belet, pas de babaud, tu pourras faire bien d’abonde !

Le tracé

Le Bazut

Ce parcours, le plus long, est commun au Matru jusqu’aux abords du village du Bessat. Là, il oblique sur la droite au niveau du col de la Croix de Chaubouret, d’où vous pourrez bénéficier d’une vue splendide sur le massif alpin, au cours d’une longue descente sur le versant sud du Pilat, jusqu’au village de Saint Julien Molin Molette, ancien fief des soyeux du Pilat lové le long du Ternay et devenu village d’artistes. La descente se poursuit sur Bourg-Argental, puis, après avoir franchi la Déôme, vous entamerez une longue remontée sur Burdignes en jouissant d’un panorama exceptionnel sur la vallée du Rhône et le Diois. Arrivé aux confins entre les départements de la Loire, l’Ardèche et la Haute-Loire, vous évoluerez alors sur l’espace nordique du Haut-Pilat en passant à proximité des vestiges du château médiéval de Montchal. Vous descendrez ensuite sur le village altiligérien de Riotord en traversant l’épaisse forêt de Taillard, dans laquelle vous croiserez peut-être un druide égaré. Vous aurez conservé assez d’énergie pour remonter sur le plateau en direction du village de Saint Romain Lachalm, où vous retrouverez les participants du Coissou, avant de revenir sur Jonzieux.

Et là, fouilla, tu te seras bien bataillé, peut-être un peu émaselé, décubassé, mais coufle d’une belle virée et tu vas pas pichorgner devant le gandot qu’on va t’amener.